Il existe aussi une version électrique (marque "vibrograv"),
mais qui ne permet pas un travail aussi fin qu'avec la version
pneumatique.
La sableuse: Le
principe
de cet appareil: un jet de sable sous très haute pression. C'est
un outil de finition qui nécessite d'extrêmes
précautions
d'utilisation du point de vue de la sécurité. A
réserver
pour les roches dures (genre grès) et un certain type de
fossilisation.
Exemple d'utilisation : les trilobites dévoniens Marocains et
Américains
ainsi que les trilobites Russes de la rivière Wolchow.
Nettoyage
Le nettoyage d'un trilobite s'effectue la plupart du temps avec de
l'eau. Attention toutefois, certains types de conservations (roches
très tendres ou très ferreuses) ne supportent pas l'eau.
Il convient donc d'effectuer un essai préalable sur un
échantillon sans valeur. Le mieux est de se renseigner
auprès d'autres collectionneurs possédant
déjà des échantillons provenant du même
gisement.

La
brosse à ongles
: une petite brosse à ongles (poils en nylon) est
particulièrement utile pour le nettoyage. A manipuler avec
prudence en fonction de la fragilité du trilobite (attention aux
yeux et aux épines).

Le
savon de Marseille: j'utilise
souvent
du savon de Marseille pour faciliter le lavage. Il est important de
bien rincer à l'eau claire ensuite.
Remarque: Des méthodes de nettoyage
à base de produits chimiques (ex: acides) existent pour les
trilobites ayant la carapace calcifiée, mais je ne les
maîtrise
pas.
Collages et consolidation
De multiples solutions de collages existent. Celles que je
présente sont issues de mon expérience et sont
particulièrement adaptées pour les trilobites. Un collage
de qualité, c'est à dire discret et résistant, est
crucial pour la valeur de collection d'un trilobite.

la
colle "Superglue"
: je pense qu'il s'agit de la colle
la plus efficace et la plus polyvalente pour recoller un trilobite
(cette colle peut également servir à renforcer des
fissures car elle est très liquide). Il est primordial que
l'échantillon à recoller soit
parfaitement propre et sec. Cette colle agit très rapidement
(quelques secondes), il faut donc réaliser le collage du premier
coup avec un geste assuré. Avant le collage, il faut s'assurer
que les pièces à assembler s'ajustent parfaitement (il ne
soit y avoir aucun espace significatif entre les surfaces à
coller); car la colle superglue est une colle type "contact". Voici la
méthode détaillée à suivre:
- Laver les morceaux de l'échantillon à recoller, en
insistant sur les surfaces de collage
- Attendre que les morceaux soit parfaitement secs (très
important). L'idéal étant d'attendre 24 heures
- Vérifier l'assemblage des différents morceaux
- Vérifier l'absence d'éventuels petits éclats de
sédiments pouvant gêner le collage
- Appliquer de la colle sur les surfaces des morceaux à
assembler (pour les
petites pièces, l'encollage simple d'une seule face est
suffisant). Il est très important de ne pas utiliser trop de
colle, car le surplus peut baver sur l'échantillon au moment de
l'assemblage; en outre un excès de colle rend le collage moins
solide.
- Assembler les morceaux en pressant fortement pendant environ 10
secondes (normalement, les morceaux restent collés). Il est
parfois intéressant d'utiliser un serre-joint lorsque c'est
possible,
notamment sur les pièces de grandes dimensions; cela permet de
réduire l'épaisseur du joint de collage.
- Il faut attendre plusieurs heures pour que la colle soit
définitivement sèche; l'idéal étant
d'attendre 24 heures. Il est ensuite possible d'effectuer un travail de
dégagement (ce type de collage est extrêmement
résistant s'il a
été réalisé correctement).
Astuces:
- Certaines marques de colle superglue (ex: marque SUPER U que je
recommande) ont un pinceau applicateur qui est très pratique,
car il permet d'appliquer la colle de manière uniforme et
correctement dosée, surtout sur les petites pièces.
- pour les très petits morceaux (ex: un oeil), utiliser une
épingle de couture pour appliquer la colle (déposer
préalablement de la colle sur une feuille de papier)
- pour retirer un excès de colle séchée
(tendance à blanchir en présence d'humidité),
utiliser prudemment de l'acétone avec un sopalin.
- pour désassembler un collage à base de superglue,
plonger l'échantillon dans un bain d'acétone pendant
plusieurs heures puis retirer minutieusement tous les résidus de
colle à l'aide d'un sopalin et éventuellement d'une
aiguille.

La
colle epoxy "Araldite": permet de
réaliser un collage sur une pièce de grande
dimension. Cette colle est très résistante mais aussi
très contraignante d'emploi (colle bi-composant). En outre, le
collage est généralement grossier. Cette colle est donc
à réserver pour des collages où la superglue ne
convient pas.

La
résine
polyester: permet de consolider un bloc de
sédiment fragile et grande dimension. Il est également
possible d'y adjoindre de la fibre de verre pour renforcer la
solidité. L'usage typique est la consolidation ou l'assemblage
d'une grande plaque de schiste de fine épaisseur; la
résine s'applique toujours sur la face opposée à
celle présentant le fossile! Le maniement de la résine
est très salissant et contraignant (usage d'un durcisseur).

Le
Rhodopass: permet de consolider une
roche poreuse ayant tendance à s'effriter (le rhodopass
imprègne la roche). Ce produit se présente sous la forme
de petite billes qu'il faut faire fondre dans de l'acétone; cela
donne une espèce de colle d'aspect mat qu'il faut ensuite
appliquer au pinceau sur la pièce à consolider. Le dosage
d'acétone varie suivant le type de roche. Ce produit est
introuvable en grande surface et coûte assez cher dans un magasin
spécialisé dans la géologie.
Restauration
La restauration d'un fossile, et d'un trilobite en particulier peut
être sujet à polémique. Personnellement, cela ne me
dérange pas pourvu que cela soit signalé lors de la
cession de la pièce. J'en ai moi réalisé quelque
unes, mais uniquement pour quelques pièces rares de ma
collection. Je ne suis pas vraiment doué pour ce type de
travail; je pense que cela nécessite des compétences
artistiques et beaucoup de patience... Je me limite donc à
présenter les quelques produits que j'ai utilisé à
titre personnel, sachant qu'il en existe certainement beaucoup d'autres.

Le
mastic polyester "Synthopierre": il
s'agit d'une pâte permettant de reconstituer de la roche. Elle
s'utilise conjointement avec un durcisseur. On peut en trouver dans
certains magasins de bricolage. De base, elle a un aspect gris clair;
il est possible d'y adjoindre des
colorants.

La
colle à bois: La colle
à bois est une solution très bon marché qui,
étonnamment, donne de bons résultats. Il est possible de
mélanger la colle avec des restes débris de
sédiments afin de reconstituer la roche; toutefois, le
résultat esthétique n'est pas toujours satisfaisant.
L'adjonction de colorants (peinture acrylique) est possible.

Les
colorants: de la simple peinture
acrylique aux pigments, il est nécessaire d'effectuer beaucoup
d'essais avant de déterminer les bonnes proportions !
A des fins d'études ou de prêt, il est parfois
nécessaire de
réaliser des moulages. Les moulages ne sont toutefois pas
recommandés pour les pièces fragiles. La
réalisation de moulages n'est pas très compliquée,
mais il faut faire preuve de beaucoup de patience...
Voici quelques
produits très utilisés:

Le
latex: très populaire dans le
milieu scientifique, ce produit permet de réaliser des moulages
mettant en évidence de nombreux détails. Le latex
n'altère pas l'échantillon à mouler. Il se
présente sous la forme d'un liquide visqueux blanchâtre et
dégage une très
forte odeur d'ammoniac; il est vendu en bouteille dans les magasins de
loisirs créatifs ou artistiques. Il peut se conserver plusieurs
années dans une bouteille parfaitement hermétique
à l'abri de la lumière. Ce n'est pas un produit
spécialement dangereux à manipuler; il faut surtout
éviter de respirer les vapeurs d'ammoniac et travailler dans un
local ventilé.

Le
plâtre: permet de
réaliser un moulage de copie à partir d'un moule en
latex. Il faut utiliser un plâtre spécial moulage; il est
possible d'en trouver dans les magasins de bricolage.
Ce site contient des conseils intéressants sur les techniques de
moulage:
http://www.pascalrosier.com/conseil/exemples/moules_en_latex/moules_en_latex.htm
Voici les deux techniques que j'ai déjà mis en oeuvre:
Le Moulage inverse
Le moulage inverse à base de latex est très
utilisé par les scientifiques. Il permet notamment de faire
ressortir des détails intéressants à partir des
contres-empreintes de trilobites (granulations, surfaces visuelles ...).
La méthode à suivre est la suivante:
- Préparer une dose de latex dans un petit récipient
(genre petite bouteille). Mélanger quelques gouttes d'encre de
chine noire; cela donne un aspect grisâtre au latex qui ensuite
deviendra complètement noir au séchage.
- Humecter l'échantillon à mouler avec de l'eau chaude
afin de
favoriser l'adhésion du latex par capillarité.
- Déposer une fine couche de latex sur la partie à mouler
puis
attendre le séchage (quelques heures). Le moulage est
réalisé en
appliquant plusieurs couches successives de latex sur
l'échantillon; il faut attendre le séchage entre chaque
couche; il est possible d'utiliser un
sèche-cheveux pour accélérer le séchage des
différentes couches de latex. Utiliser une spatule (en bois ou
en plastique) pour
répartir uniformément le latex.
- Lorsque l'épaisseur de latex est suffisante (7 à 8
couches en moyenne), attendre
plusieurs jours que le moulage soit parfaitement sec.
- Décoller délicatement le moulage en latex de
l'échantillon. Rincer l'échantillon original avec de
l'eau savonneuse afin de supprimer les résidus d'ammoniac.
- Supprimer les éventuelles bavures de latex
séchées
à l'aide d'un cutter ou d'une paire de ciseaux.
Il en résulte un moulage élastique noir très
solide qui peut ensuite être photographié. Il est possible
de déposer une fine couche de poudre d'ammoniac (blanche) sur le
moulage afin d'accentuer les détails pour les photos (la couche
de poudre d'ammoniac doit être déposée par
évaporation).
Les moulages en latex sont à conserver à l'abri de la
lumière (très important) sous peine de se dégrader
très rapidement; l'idéal étant de les emballer
dans du papier d'aluminium.
Le Moulage de copie
Le moulage de copie à pour but de réaliser une
réplique de l'échantillon original, la plus fidèle
possible.
La méthode à suivre est la suivante:
- Préparer un
récipient aux dimensions de l'échantillon à mouler
(pour contenir le latex)
- Humecter l'échantillon à mouler avec de
l'eau chaude afin de
favoriser l'adhésion du latex par capillarité.
- Déposer une fine couche de latex sur la partie à mouler
puis
attendre le séchage (quelques heures). Le moulage est
réalisé en
appliquant plusieurs couches successives de latex sur
l'échantillon; il faut attendre le séchage entre chaque
couche; il est possible d'utiliser un
sèche-cheveux pour accélérer le séchage des
différentes couches de latex. Utiliser une spatule (en bois ou
en plastique) pour
répartir uniformément le latex. Il faut veiller à
laisser une zone libre aux
dimensions suffisantes (généralement située sur la
face opposée de l'échantillon), afin de permettre le
démoulage.
- Il faut répéter l'opération jusqu'à ce
que le moule soit suffisamment rigide (dépend de la taille de
l'échantillon); en moyenne une dizaine de couches de latex pour
un échantillon de quelques centimètres.
- Attendre plusieurs jours que le moulage en latex soit parfaitement
sec.
- Décoller délicatement le moulage en latex de
l'échantillon. Rincer l'échantillon original avec de
l'eau savonneuse afin de supprimer les résidus d'ammoniac.
- Supprimer les éventuelles bavures du moule en latex à
l'aide d'une paire de ciseaux. Rincer le moule en latex avec de l'eau
savonneuse.
- Positionner le moule en latex bien à plat sur une table, en le
calant si nécessaire pour qu'il ne se déforme pas. Il
est possible de le placer en suspension dans un récipient
remplit d'eau (permet de répartir uniformément la charge).
- Remplir le moulage avec du plâtre spécial moulage. Le
plâtre
doit être suffisament liquide et parfaitement
mélangé.
- Attendre que le plâtre soit parfaitement sec (environ 48 heures)
- Démouler délicatement la copie en plâtre. Rincer
le moule en latex avec de l'eau savonneuse afin de supprimer les
résidus de plâtre.
- Supprimer les éventuelles bavures de plâtre (à
l'aide
d'un cutter par exemple)
Remarque: le premier moulage
en plâtre est souvent de qualité
médiocre car le moule n'est pas rodé; il ne faut pas
hésiter à en réaliser plusieurs.
Référencement
et rangement de la collection
|
Il s'agit là d'un problème auquel beaucoup de
collectionneurs sont confrontés. Personnellement, j'ai
collectionné les fossiles
pendant plus de 15 ans sans avoir adopté une véritable
méthode de référencement pour ma collection, et je
pense ne pas
être le seul dans ce cas...
Pourquoi référencer sa collection ? Plusieurs raisons:
- cela permet de pallier à nos trous de mémoire sur
l'identification des échantillons
- cela permet d'accroître son efficacité
pour rechercher un échantillon
- cela augmente sa valeur scientifique
- cela permet d'évaluer sa valeur financière (important
pour nos proches qui s'y
retrouveront plus facilement le jour où ils auront à
gérer ce "lourd" héritage!)
La règle d'or: Une
autre personne que vous doit être capable d'estimer le contenu de
votre collection et de s'y retrouver facilement.
Je présente ici la méthode que j'ai adopté
pour référencer et ranger ma collection.
Référencement et Identification des
échantillons
Le référencement peut
s'effectuer à l'aide d'un fichier au format papier ou au format
informatique (base de données). Personnellement, j'utilise un
système de base de données informatique qui permet
également d'effectuer des impressions papier.
Le fichier doit contenir au minimum
les
informations suivantes pour chaque échantillon : une
référence, sa détermination, sa provenance, sa
datation
(étage géologique). Il est possible d'y adjoindre
d'autres informations utiles : une photographie, son mode
d'acquisition (découverte personnelle, achat, échange),
sa valeur financière, l'auteur scientifique, ses dimensions, son
poids, sa date d'entrée en collection ...
Une
référence unique
doit être attribuée
à chaque échantillon; cette référence sert
de
point d'entrée pour accéder aux informations du fichier.
J'ai adopté le format suivant pour la référence: CHG-XXXXX (CHG sont mes initiales,
XXXXX est un numéro). Les initiales permettent d'identifier de
manière simpliste la collection (utile en cas de prêt
d'une pièce); le numéro peut être choisi de
manière purement séquentielle (recommandé) ou
suivre une logique personnelle (difficile à gérer).
Base de données informatique :
Elle peut être de conception personnelle (exemple: sous Excel)
mais il existe beaucoup de logiciels "prêt à l'emploi"
plus ou moins complexes à installer et à utiliser. Pour
ma part, j'ai trouvé le logiciel Trilobase
particulièrement bien adapté pour un usage amateur.
Trilobase s'appuie sur une base de
données MSACCESS; il permet de saisir une liste
d'informations exhaustive sur les échantillons ainsi que sur les
gisements associés.
recommandations:
- Comme toute donnée informatique, il
faut penser à effectuer des sauvegardes régulières
de la base de données
sur un support externe (ex: CD-ROM).
- Il faut restreindre les photos en nombre et en taille afin de limiter
le dimensionnement de base de données (j'utilise des images au
format JPEG avec une résolution 400x300 pixels en mode
"paysage"). Pour la photo, positionner une règle à
côté de l'échantillon afin de donner
l'échelle; un double-décimètre en aluminium est
parfait.
- Lorsque la base de données devient importante en taille
(plusieurs centaines de méga-octets), il est souhaitable de
créer plusieurs bases de données séparées
plus petites en
fonction de critères à définir (période
géologique par exemple).
Le logiciel
Trilobase permet de réaliser des impressions papier sous forme de
fiches ou d'étiquettes pour chaque échantillon. Les
fiches peuvent être rassemblées dans un classeur
(rangement en fonction de l'ordre croissant de la
référence). Les étiquettes de présentation
sont faites pour accompagner l'échantillon dans le lieu de
rangement.
Marquage des
échantillons
La référence doit
être marquée directement
sur chaque
échantillon (les étiquettes peuvent se perdre! elles sont
a réserver pour les très petits
échantillons ainsi que les individus enroulés
sur lesquels il est impossible de réaliser un
marquage). Un marquage de qualité
doit présenter les caractéristiques suivantes:
- résistance dans le temps
- repérage aisée de la marque
- résistance au lavage
Après avoir recensé
différentes méthodes et consulté différents
avis, voici la méthode que j'ai retenu pour réaliser le
marquage:
- Polir préalablement une zone
destinée au marquage si
nécessaire (lorsque la roche est trop granuleuse par exemple).
Le polissage peut s'effectuer avec une meuleuse d'angle. Eviter de
choisir une zone d'appui afin de prévenir toute
dégradation du marquage..
- L'échantillon à marquer doit être propre et sec
- Appliquer une fine couche de blanco (Tipp-ex) si possible en un seul
passage; il faut éviter un surdosage de blanco qui aura tendance
à
s'écailler.
La marque Tipp-ex
possède un applicateur sous forme d'éponge qui permet de
doser uniformément le produit.
- Attendre que le blanco soit parfaitement sec. L'idéal
étant d'attendre 24 heures.
- Ecrire la référence de l'échantillon avec un
stylo à
encre
de chine (Rotring), de couleur noire (personnellement, j'utilise un
Rotring 0.35). Le blanco préalablement appliqué a pour
avantage de limiter l'usure du stylo Rotring ! (ce qui n'est pas un
luxe compte-tenu du prix de ce type de stylo). Le stylo Rotring est
très utilisé en dessin industriel et il est possible de
se le procurer dans les papeteries.
- Attendre que l'encre de chine soit parfaitement sèche.
L'idéal étant d'attendre 24 heures.
- Appliquer une couche de vernis
polyuréthane (appliqué en un seul passage si possible),
genre vernis incolore pour le bois (certaines personnes utilisent aussi
du vernis à ongles). Laisser sécher au moins 24
heures.
astuces:
- pour les échantillons de petite
dimension, écriture directe à l'encre de
chine (noire ou blanche en fonction de la couleur de la roche).
- pour les très petits échantillons ainsi que les
individus enroulés, utiliser une petite
boîte avec une étiquette dans la boîte.
Rangement de la collection
Il y a plusieurs manières de ranger sa collection: par
gisement, par étage géologique, par taxonomie...
Personnellement, j'ai retenu le
rangement
par gisement (et par niveaux) car cela donne un aperçu
fidèle de l'écosystème de l'époque.
Enfin, la finalité d'une collection est d'en faire profiter les
autres (amasser dans des caisses, des tonnes de cailloux, non
dégagés et non déterminés, ne
présente aucun intérêt!). Ainsi, il est important
de mettre en valeur sa collection; les vitrines étant
l'idéal lorsque l'on dispose de la place suffisante! Les
meubles à grands tiroirs sont également très
pratiques et permettent de ranger un nombre important de pièces.